The truce is a finite time agreed upon to allow each others to bury the dead and ready the future, to lick one’s wound and kiss each others. “Everything has an appointed season, and there is a time for every matter under the heaven” teaches the Kohelet, but the truce is neither war nor peace; a moment when the time to mourn and the time to dance overlap. In existential mathematics, the formula is composed of two equations; the minimization of past and present mazes and the maximization of present and future vestals. With Rebecca Lamarche-Vadel and Nicolas Anderson.
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Issue d’une réflexion avec Rebecca Lamarche-Vadel et Nicolas Anderson, Truce est une formule dévolue à la trève, a time to mourn and dance. Elle signifie ce temps où l’on enterre ses morts et conçoit ses enfants. Il y a un temps pour tout, dit Qohelet, un temps pour la danse, et un temps pour le deuil. Mais en contrepied de l’Ecclésiaste 3, on peut concevoir un temps pour le deuil et la danse qui cohabitent, précisément celui de la trêve. C’est à dire un temps pour tout mais d’un tout dans le même temps. En mathématiques existentielles, cette formule se traduit par deux équations, la minimisation des dédales présents et passés, la maximisation des vestales présents et futurs. Le deuil et la danse.